La pandémie du COVID-19 a profondément affecté le monde du travail. Afin de faire face à l’urgence, les entreprises ont dû repenser leurs méthodes de travail. En effet, cette crise a favorisé l’accélération de nouvelles méthodes organisationnelles. Découvrez dans les lignes suivantes la meilleure pratique organisationnelle pour votre entreprise.
Le télétravail
Pour que les entreprises continuent d’assurer le servi minimum, elles ont dû envisager de nouvelles organisations du travail. Les bureaux, traditionnels lieux de sociabilité professionnelle, ont été remplacés par le travail à distance qui tend désormais vers la norme. Si le télétravail permet d’assurer le service de l’entreprise, il implique l’usage excessif de réunions et de mails. Veillez à ne pas enchainer des réunions sans laisser à vos employés le temps nécessaire pour accomplir leurs tâches professionnelles quotidiennes.
Toutefois, une étude réalisée par l’université de Stanford a démontré une augmentation nette du rendement des télétravailleurs, soit 13 % de plus que les autres travailleurs. En revanche, cette méthode de travail qui s’avère sanitairement plus sûre crée des contraintes dans la gestion de sa vie professionnelle et personnelle.
Par ailleurs, il est possible de choisir des jours où la présence des travailleurs dans les locaux de l’entreprise sera exigée. Cependant, vous devez veiller à prendre des dispositions afin que vos collaborateurs ne soient pas exposés au virus.
Le Smart Working
Si le télétravail ne semble pas correspondre à votre entreprise, laissez-vous tenter par le smart working. Ce dernier prône une philosophie plus flexible des méthodes de travail. En effet, il centre le travail sur les résultats et moins sur les processus. Le smart working se focalise sur la personne en lui donnant plus d’autonomie. Il change la culture du travail en tenant compte de deux axes tels que la confiance et la flexibilité. Notons que le travail n’est plus contraint aux limites physiques de l’entreprise. En effet, certaines tâches peuvent se dérouler dans d’autres espaces. Le bureau devient donc un espace où les expériences sont partagées. Ainsi, le plus important reste la tâche et non le lieu où il se déroule.